• LES DESCENDANTS DU "FAURÉ"

     

     

    RAYMONDE (161*-1668)

     

    Antoine Vayssié, selon le testament de sa mère, Antoinette Éché, laisse trois enfants: une fille, Raymonde, et deux fils, Jean et Jacques. 

    Mariée à un maçon de Lacapelle-Livron - elle doit approcher la trentaine et lui la cinquantaine si l'on en juge par leurs actes de décès -, elle semble n'avoir eu de Bertrand Alauzet qu'un fils, prénommé lui aussi Bertrand, qui se marie en 1672 à Saint-Amans de Promilhargues avec Marguerite Pagès, et peut-être une fille morte tout enfant.

      

     

     

     JEAN  (161*-1666)

     

    Il épouse en 1635 Antoinette Cavaillé, de la paroisse de Saint Symphorien, et reçoit par contrat de mariage la moitié des biens de son père. Surnommé tantôt "Fauré" comme celui-ci, tantôt "Faurou" comme le seront ses descendants, il est à la fois laboureur à Rigal pour son propre compte et métayer au service de François de Lagardelle. Dans son testament établi en 1666, il nomme une fille et cinq fils.

    Sa fille Marie (1642-1702), deux fois veuve, ne laisse pas de postérité. Deux Jean sont nés, l'un en 1636, l'autre en 1641, mais le testament n'en mentionne qu'un: on peut donc penser que l'aîné a disparu très tôt. Celui qui survit se place comme valet aux Mondonnets, chez Éché, dit Petit. Un Jacques, né sans doute au début de 1650 (le registre comporte une lacune entre janvier et avril) puisque décédé en 1700 à l'âge de cinquante ans, exerce à Rigal le métier de tailleur. C'est Bernard (1644-1703) qui est désigné comme héritier; laboureur à Rigal et marié deux fois, il laisse une dizaine d'enfants dont une majorité de garçons. Auprès de lui demeure Michel (1652-1703), brassier, à qui ne survit qu'une fille. Enfin Guillaume (1646-1679) s'est établi par son mariage au hameau de Fontanilles; il laisse un fils.

    Ce sont donc évidemment les descendants de Bernard qui contribueront, avec ceux de Pierre Vaissié Capsec et ceux de Jean Vaissié Boutiman à perpétuer le nom à Rigal.

     

    LES DESCENDANTS  DU "FAURÉ"

     

     

     

     

      

     

     

     JACQUES (vers 1621-1694)

     

     Il exerce le métier de maçon et vit au hameau du Berry, d'où est originaire sa femme, Jeanne Ruand. Le mariage a eu lieu en 1655, soit vingt ans après celui de son frère Jean.

    Sur les sept enfants du couple que permettent de connaître les registre des baptêmes, six survivent.

    Catherine (1656 - ????)  est l'aînée; elle a épousé Antoine Alauzet avant 1688, année où celui-ci donne quittance de la dot à son beau-père, mais j'ignore dans quelle paroisse elle a fini sa vie.  La seconde fille, Jeanne (1659- 1718), épouse Jean Raynal, du hameau de Lestang, dans la paroisse de Notre-Dame de Livron.

    Naît ensuite Jean (1663-1738), qui, marié à Catherine Bosc en 1695, se verra continué surtout par ses deux derniers fils, tous deux prénommés Pierre et tous deux pourvus d'une assez abondante descendance; Pierre aîné, né en 1699, a pour épouse Françoise Bousquet et vit jusqu'en 1774; Pierre cadet (1708-1787) se marie deux fois, d'abord avec Marie Vidaillac (1698-1746), puis avec Catherine Donnadieu.

    Un deuxième fils, Jacques (1665-1713), qui épouse en 1696 Marie Poussou, exerce comme son père le métier de maçon et se trouve, lui aussi, ancêtre d'un bon nombre de Vaissié (puisque c'est ainsi que s'écrira définitivement le nom de cette branche).

    Deux autres fils disparaissent prématurément: Bertrand, né en 1667, meurt peu après sa naissance; Antoine, né en 1672 et resté célibataire, disparaît en 1707 à l'âge de trente-cinq ans.

    Une dernière fille, Marie, est née en 1670.

     

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